Oh que oui, petit pingouin bleu ! Puisque les immenses affiches commencent à être installées sur le Yerba Buena Center de San Francisco (ainsi que sur le car régie, mais c’est pas le même budget 🙂 ) où ce passera la Keynote de mercredi.

C’est de la bonne affiche là quand même ! J’vous rappelle que vous pourrez suivre la conf’ chez nous à partir de… Bah finalement, vous verrez bien, on vous tiendra au courant… 🙂

J’ai passé l’après midi à tester un p’tit soft pour iPhone appelé GeoTag. Et je dois dire que je suis tout simplement subjugué par la qualité du bébé. Retour sur expérience :

Ce que je voulais faire :

Ayant pour ainsi dire en permanence mon iPhone avec moi et un reflex qui me suit quasiment partout (mais ne possédant pas de GPS intégré), je cherchais un moyen me permettant de taguer mes photos avec les coordonnées GPS de la position où je les avais prises. Problème : les modules GPS à ajouter sur un reflex coûtent une blinde et sont limités aux reflex (pas aux bridges et compacts), les tracker GPS ne sont pas franchement donnés non plus. Et puis pourquoi se balader encore un gadget quand on a déjà techniquement tout ce qu’il faut ?

Ceux qui me suivent sur Twitter le savent, je cherchais donc un moyen de coupler le GPS de mon iPhone et la qualité des photos shootées avec mon reflex. Et bien c’est EXAAAAAAACTEMENT ce que fait ce super soft et son compagnon de bureau.

Le principe :

Vous synchronisez les horloges de votre reflex (ou tout autre appareil photo) et de votre iPhone. Puis vous lancez l’appli sur l’iPhone et vous le foutez dans votre sac à dos ou votre poche. Vous shootez tout l’après midi avec votre reflex, pendant que l’iPhone enregistre toute les 10 secondes où vous vous trouvez (j’annonce une demie journée de shoot sur la batterie de l’iPhone, mais j’attend confirmation sur ce point de la part de l’éditeur, pour voir si y a pas moyen d’augmenter encore ça). Une fois rentré à la maison, vous déchargez vos photos sur le dur de votre ordi. Et vous lancez GeoTag Desktop. Ce dernier va alors chercher tout seul sur votre iPhone (via wifi ou le net) les coordonnées enregistrées pendant votre escapade champêtre. Ensuite, en comparant l’heure de prise des photos et le moment d’enregistrement des coordonnées il va attribuer les coordonnées GPS correspondantes. Mieux encore, si vous avez shooté entre deux enregistrements de coordonnées, il va estimer votre position au moment du shoot en fonction de votre déplacement. Pas une seule de vos photos ne sera sans position GPS.

De plus, vous avez même la possibilité, si vous n’êtes pas en balade, mais dans un lieu ponctuel de lui dire « Ok, je suis là. Et les coordonnés actuelles sont celles des photos IMGP5467 à IMGP5678 ». Aucun risque de drainage de batterie donc, et même si vous ne captez pas le signal GPS (en intérieur par exemple) vos photos seront tout de même Geotaguées. Cool, génial, méga teuf !

Bref, je suis conqui. Pour 1,59 euros, on a une solution fiable et extrêmement simple. Pas de hack à la con, pas de surprise. Un support hallucinant de format fichier (raw et JPEG, TIFF…), et on peut tirer le parti de son reflex et se la raconter en disant (ah ouais attend, je sais plus où c’était ça… Fais voir… » Pan google Map et hop…

Pour ceux que ça intéresse, j’ai mi quelques-unes des photos prises sur la galerie flickr. Et désormais, vous saurez où je les ai prises… 😉

Franchement si vous avez un iPhone 3G ou 3Gs et un reflex, n’hésitez pas. 1,59 ??? pour une vraie solution de géolocalisation pour tout les appareils photo. Ca calme.

C’est par là pour plus d’info

Larmes et envie dans les yeux de vos amis…

J’vous l’ai dis vendredi je montais à Paris samedi pour retrouver l’ami Anthony à la défense et pour visiter le musée de l’informatique et l’expo consacrée aux 25 ans du Mac. On y a vu pas mal de jolis trucs, des dinosaures de l’informatique et aussi des Macs super rares…

Et j’ai aussi réalisé que je sais toujours pas me servir de mon reflex…

Ca se passe dans la galerie (accessible) dans la sidebar à droite.

Mais de celle de son OS. C’est du moins ce que révèle un test ultra über technique, aussi connu sous le nom de : « Test en lumière de merde et zone à fort contraste ». C’est d’habitude le genre de cliché qui met l’appareil photo de l’iPhone à genou. La seule différence entre les deux prises consiste en une mise à jour de l’OS.

On est en 2.2.1 à droite et 3.0 à gauche.

On va finir par avoir une bonne raison de mettre à jour si ça se confirme !

Via

Aujourd’hui c’est la frangine (Wayap ou Marianne sur le blog suivant l’humeur) qui est à l’honneur. Puisque les deux fonds d’écran (machines et iPhone) sont tirés de photos qu’elle a shooté.

On commence avec les machines :

La c’est vraiment le contraste de couleur que je kif. Et en plus il y a une bonne zone pour mettre mes icones sur la droite 🙂 .

Et pour l’iPhone, on va tenter de le transformer en fossille grâce à une photo d’escalier…

C’est tout pour cette semaine. Si vous savez pas quoi foutre jusqu’à lundi, vous avez plein de vidéos du blog à regarder, et a faire tourner. Mais on va en reparler…

Steve à les moyens de s’en foutre. Il s’agit ici d’une maison dans le plus pur style colonial espagnol qu’il a acheté en 1984. Cette grosse baraque située à Westwood en Californie est selon c’est défenseurs une pièce historique qu’il faut à tout prix conserver et restaurer. Steve lui est beaucoup plus réservé quant à son aspect historique, puisqu’il la qualifie de « Pire injure à une maison qu’il ait jamais vu ». Des avis qui sont donc divergeants, on le voit. Le problème c’est qu’après y avoir vécu pendant 10 ans, Steve souhaite la détruire pour pouvoir y reconstruire quelque chose de bien plus potable à ses yeux. Et c’est donc une bataille juridique qui s’éternise depuis maintenant plusieurs années. A tel point que Steve, qui a le c??ur sur la main, en est arrivé au point où, et je cite « Que celui qui veut la préserver la prenne, je lui offre tant qu’il prend en charge le déménagement de la maison ».

Quel générosité Steve. Surtout quand on sait que puisque tu as décidé de ne plus t’occuper de cette baraque, fatalement elle tombe en ruine.

Nonobstant et néanmoins, par jenesaisquelmoyen, certains photographes ont réussi à y faire un tour et à prendre de jolis clichés. On y voit un orgue en piteux état à force de recevoir la flotte sur la gueule. Une table de billard qui ne va pas beaucoup mieux etc etc.

Plus de photos ici.