C’est vraiment le genre d’info que j’adore. T’en feras rien, mais t’es tout content de le savoir. Parce qu’on sais jamais, si un jour quelqu’un te le demande bah t’auras la réponse. Et même si on te le demande pas, bah tu le sais.

Bref. Le problème de la balance des blancs, c’est ce qui fait que les photos de tata Simone sont toute jaunes, rouges, ou bleu. Un problème incroyablement commun qui se résout pourtant facilement la plupart du temps. Notamment en indiquant à l’appareil le type d’éclairage du sujet (lampe à incandescence, néon, lampe à pétrole, soleil…) afin d’ajuster l’ensemble des couleurs.

Le point de repère de base pour faire ça, c’est le blanc. En ce qui me concerne, sur le Pentax comme sur une brouette de reflex et de bon point & shoot, en plus de ça t’as la possibilité de prendre une photo d’un truc blanc avant de prendre ta série de photos. Ce qui a pour  effet de lui dire :

« Bon tu vois ce mur blanc là bonhomme, je sais pas comment tu le vois, mais ça, normalement, c’est blanc. Donc si ça c’est blanc et que tu le vois limite jaune, bah tu fais la correction pour que ce soit blanc pour toi. Et tu fais cette même correction pour toutes les couleurs. Où je te promets que ce jeu de pile sera ton dernier MOUHAHAHAHAHAHAHA. »

Et donc c’est là que je te pose cette question : Et les satellites, il font comment ? (Et je t’interdit de t’en foutre)

Bah ils utilisent un lac asséché comme par exemple celui-ci en turquie :

Et comme ça après il a des photos aux couleurs impec’. C’est pas con, mais fallait quand même un peu y penser. Si. Quand même. Bon en vrai  ils sont encore en train d’expérimenter le bordel avec des mesures au sol en simultané. Non mais tu crois que tout se fait facilement ?!

Demain nous verrons comment la chasse d’eau de l’ISS sait qu’elle est pleine 🙂 .

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